De par son statut de coopérative, l’entreprise répond à une logique lucrative très limitée. La souscription à son capital ne peut donc pas avoir pour objectif la réalisation d’un investissement financier mais la participation à un projet participatif, écologique et citoyen.
La particularité d’une SCIC, comparée à d’autres sociétés y compris d'autres coopératives, est qu’une partie importante des résultats est investie dans l'activité et la trésorerie de la coopérative sous forme de réserves impartageables.
La part du résultat positif mise en réserve est au moins équivalente à 57,5% des bénéfices. Elle peut être supérieure et atteindre 100% par choix inscrit dans les statuts (choix permanent) ou par choix de l'AG (choix annuel).
Le solde (maximum 42,5% du résultat) peut être en partie affecté à la rémunération des parts sociales après déduction comptable des éventuelles aides publiques (l'équivalent de ces sommes soustraites du résultat distribuable est affecté aux réserves impartageables).
Le taux versé à chaque part sociale ne peut dépasser le taux moyen des rendements des sociétés privées (TMO) communiqué tous les six mois par le ministère des Finances.
Souscrire au capital social de la SCIC Bio Culture inclut un risque financier, comme toute prise de part sociale dans le capital d’une Société par Action Simplifiée (SAS) MAIS ce risque se limite à votre apport, soit 280 euros ou 560 euros.